« Pour la mare », entre conte et manifeste sur deux héros malgré eux, embarqués dans la défense d’un coin de nature
Pour la mare, ce n’est pas tout à fait un [...]
Stella Serfaty évoque la pensée écologique d’Henry David Thoreau dans une pièce entre danse et arts plastiques, pour nous inviter à repenser notre relation à la Nature.
Les cabanes sont-elles seulement une utopie de l’enfance ? Henry David Thoreau a construit une cabane et vécu deux ans, deux mois et deux jours dans la forêt, où il a accouché d’un texte emblématique de la littérature américaine: Walden ou la Vie dans les bois. La metteuse en scène Stella Serfaty a convoqué cet auteur du XIXe siècle, en lisant sur scène des bribes de ses textes qui résonnent aujourd’hui. À côté d’elle, la danseuse Lora Cabourg interagit avec des tissus et de la glaise, convoquant tous les sens, dans une œuvre entre l’installation plastique et la pièce de danse contemporaine. Ce conte en paroles et danse pour toute la famille aborde la question écologique avec douceur et poésie, dans une invitation à repenser les relations aux écosystèmes qui nous entourent.
Belinda Mathieu
à 11h les jours impairs, relâche le lundi. Tél. : 04 84 51 09 11. Durée : 1h30. Dès 8 ans.
Pour la mare, ce n’est pas tout à fait un [...]
Deuxième volet du diptyque CroiZades, de [...]
La motivation d’Aurélia Tastet interroge [...]