L’Homme Canon de Rémi Luchez
Comédien et fil-de-fériste, Rémi Luchez ne [...]
Quand une interprète emblématique rencontre le chorégraphe iconoclaste Mickaël Phelippeau, c’est l’occasion d’aller plus loin dans son expérience du corps et dans son histoire.
Nous avions découvert Lou Cantor dans La Belle au Bois Dormant de Béatrice Massin. Elle en avait l’âge et la fraîcheur, avec ses allures un peu sauvages, un peu garçonnes, à cheval entre les bonnes manières et l’effronterie d’une gamine qui n’a peur de rien. Cette fois, elle est la nouvelle héroïne de Mickaël Phelippeau qui n’aime rien tant que tirer des portraits chorégraphiques des personnalités qu’il rencontre. Mais cette fois il s’agit d’une commande. En effet, « pour l’ouverture de la Fabrique des écritures Baroques et 25 ans après la création de la compagnie Fêtes Galantes, Béatrice Massin, entre autres spécialiste et chorégraphe en danse baroque, me propose de faire un portrait chorégraphique de Lou Cantor » raconte Mickaël. Mais Lou n’est pas seulement une interprète de talent, elle est aussi la fille de Béatrice. Phelippeau se saisit de ce lien familial pour faire de son vécu l’élément central de cette histoire d’héritage, qu’il soit baroque ou filial, sur des airs de Folies d’Espagne, signées Lully, Corelli ou même Rachmaninov !
Agnès Izrine
à 10h00. Durée 30 minutes.
Tél. : 04 90 87 46 81 ou 07 67 78 84 78.
Comédien et fil-de-fériste, Rémi Luchez ne [...]
Avant de mettre en scène Lampedusa Snow et [...]
L'épineuse question de la guerre d'Algérie et [...]