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Le Roi Lear - Critique sortie Théâtre
Le Roi Lear
« Un homme dont l’âme est aussi tourmentée [...]
David Greilsammer
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Monologue
La figure de la femme, entre danse traditionnelle chinoise et calligraphie.
Monologue
La figure de la femme, entre danse traditionnelle chinoise et calligraphie.
Publié le 10 octobre 2007
Le pianiste israélien articule son récital autour de Haydn, Berg, Mozart et Schubert.
C’est à un programme viennois que nous convie le brillant pianiste David Greilsammer. Au cours des siècles, la cité autrichienne a accueilli de nombreuses « écoles » de compositeurs, aux esthétiques souvent novatrices. Véritables pionniers, les classiques des Lumières sont représentés par les ambitieuses Variations en fa mineur de Haydn et la célébrissime Sonate K. 331 de Mozart, dont la Marche turque a fait le tour du monde. David Greilsammer a choisi la figure de Schubert pour illustrer le romantisme viennois. D’une grâce déliée, les Six moments musicaux requièrent un touché tout à la fois aérien et équilibré. Enfin, au XXème siècle, Vienne a été le cadre d’une des plus marquantes révolutions de l’histoire de la musique, menée par Schoenberg. Parmi ses disciples, Alban Berg, auteur d’une Sonate pour piano d’une concision et d’une expressivité superlatives. On remarquera en outre que Berg utilise, à l’instar de Mozart, la forme-sonate, spécialité viennoise…
Antoine Pecqueur
Mardi 25 septembre à 21h. Places : 15 €.
