Mandala de Jann Gallois
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A la Station – Gare des mines, Gisèle Vienne convoque trois danseurs pour questionner le corps empêché et le besoin de faire corps avec la foule.
Metteuse en scène, chorégraphe, marionnettiste, la Franco-autrichienne Gisèle Vienne travaille le corps avec subtilité, pour faire jaillir les rapports de domination. Ce n’est pas un hasard, si elle a choisi la Station – Gare des Mines pour déployer cette Performance. Tiers-lieu festif orchestré par le Collectif MU, on le connaît pour sa programmation alternative, souvent LGBT, surtout musicale, mais aussi performative et visuelle. La chorégraphe invite trois performeurs à investir cet espace – Sophie Demeyer, Katia Petrowick et Theo Livesey – pour exprimer le manque de foule et le besoin des corps, empêchés par des structures contrôlantes, de se retrouver et de se mélanger. Une performance programmée dans le cadre du portrait qui lui est consacré au Festival d’automne, à haute teneur politique.
Belinda Mathieu
Dans le cadre du Festival d’automne.
Tél : 01 53 45 17 17. Durée : 3H. (Entrée et sortie libre)
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