Lorsqu’il écrit Le Tribun en 1978, Mauricio Kagel dénonce les dictateurs d’Amérique latine comme Pinochet ou Peron. Ses armes ? la parodie, à la manière de Charlie Chaplin, mais aussi les ratages et dérapages de Dix marches pour rater la victoire, partition qui décale les codes des fanfares. Dirigée par Pierre Roullier, directeur de l’Ensemble 2e2m, cette œuvre où texte et musique contribuent à dénoncer les totalitarismes, est mise en scène par Jean Lacornerie pour qui « les résonances politiques du texte de Kagel n’ont fait que se déplacer légèrement, vers des zones, hélas, plus consensuelles et plus majoritaires… »
I. Stibbe
à 20h. Tél. : 01 45 60 79 05.
Poursuite sur scène de la belle aventure de [...]
Dur, dur, de suivre l’actualité de Sidi Larbi [...]
Sous-titrée « Les Arts Florissants en [...]