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Akram Khan réinvente le Sacre du Printemps [...]
En septembre, on prend le temps d’aimer la danse : c’est ce que nous propose ce festival toujours fidèle à son esprit d’ouverture sur la diversité de la danse.
Le festival, qui court jusqu’au 15 septembre, s’est ouvert sur la nouvelle création de Thierry Malandain, une Cendrillon accompagnée par l’Orchestre Symphonique Euskadi. Il est aussi possible de s’arrêter à Biarritz découvrir les dernières Histoires condansées de Foofwa d’Imobilité, trublion de la danse qui n’hésite pas à incarner les fantômes de la danse du XXème siècle. Ou alors Slogans, la dernière pièce d’Hervé Robbe, encore peu vue. Et, comme le lien avec le pays basque et l’Espagne demeure au cœur du projet du festival, on remarque la présence de la Dantzaz Konpainia dans un programme de trois pièces témoignant de leur toute jeune créativité, ou celle des chants d’amour basques enregistrés par Benat Achiary et dansés par la compagnie Mizel Théret. A l’inverse, Victor Ullate fait figure d’habitué des lieux comme du paysage chorégraphique international. Il y présente Coppelia.
N. Yokel