Avec “Les guêpes de l’été nous piquent encore en novembre”, Yordan Goldwaser plonge ses comédiens au plus profond du théâtre de l’Absurde
Porter à la scène Les guêpes de l'été nous [...]
La Bête est un spectacle en forme de mystère, dont le dévoilement se fait lentement par l’écoute. Sous-titré Conférence immersive sur l’Homme sauvage dont un spécimen au moins aurait vécu dans la forêt près de chez vous, il est mis en scène par Annabelle Sergent.
La Bête fait partie d’un diptyque que la Cie Loba a commandé à l’autrice Karin Serres autour de nos liens au vivant. De même que l’autre pièce, intitulée Sauvage, La Bête est un solo, interprété par Christophe Gravouil qui campe un gardien au Muséum d’Histoire Naturelle. Un homme singulier, à la mémoire défaillante depuis un accident survenu dans son adolescence, qui enregistre ses pensées sur son dictaphone avant de les avoir oubliées. Dans les recoins de son esprit, des souvenirs dangereux se tapissent, réveillés par l’orage et l’écoute d’enregistrements faits dans la forêt, avant son accident. Une pièce dont la dramaturgie repose essentiellement sur le son, qui a pour cela fait l’objet d’un travail soigneux de création sonore.
Mathieu Dochtermann
à 14h20. Relâche les 7 et 14 juillet. Tél. : 04 90 85 59 55. Durée : 50 minutes. Dès 10 ans.
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