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La mort d’Hercule - Critique sortie Théâtre
La mort d’Hercule
Une tragédie du double déclinÀ partir des [...]
Le Jour des Grecs
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L’esprit d’un lieu
Depuis 1964, la Grange de Meslay accueille chaque année, dans un lieu unique situé à quelques kilomètres de Tours, l’un des plus beaux rendez-vous musicaux de l’été.
L’esprit d’un lieu
Depuis 1964, la Grange de Meslay accueille chaque année, dans un lieu unique situé à quelques kilomètres de Tours, l’un des plus beaux rendez-vous musicaux de l’été.
Publié le 10 janvier 2008
Une célébration de l’invisible et de la solitude
Lecture, concert, théâtre : la MC93 clôt son Standard idéal en exaltant la culture grecque.
« Il s’agit d’un texte fondamental », affirme Patrick Sommier à propos de Je meurs comme un pays de Dimitris Dimitriadis, œuvre dont la lecture est au programme du Jour des Grecs, tout comme La mort d’Hercule (cf. le “Gros plan” de V. Hotte) et le Concert Rebetiko. « Un texte d’une violence inouïe sur l’idée de patrie, de nation, de pays…, sur cette métastase qu’a représentée la dictature des colonels ». Tentative impressionniste de voyager au sein de la culture grecque, de sa grandeur, de son sens de l’universel, le dimanche 24 février sera une invitation à célébrer « l’invisible et la solitude », deux notions que le directeur de la MC93 associe intimement à la Grèce et à la musique rébétique. Chant des bas-fonds, le “rebetiko” a besoin « de la nuit, de la fumée, du bruit, de la danse, de l’ivresse, du vague à l’âme », explique Grigoris Vassilas, fondateur du groupe Dromos qui donnera un concert spécial lors de cette journée de clôture et qui, tout au long du festival, à l’issue de chaque spectacle, transformera le restaurant de la MC93 en taverne hellénique.
M. Piolat Soleymat
Le jour des Grecs (Je meurs comme un pays ; Concert Rebetiko ; La mort d’Hercule), le 24 février 2008.
