J’ai si peu parlé ma propre langue, une mémoire au féminin mise en scène par Agnès Renaud
À partir de l’histoire de sa propre mère, [...]
Praline Gay-Para, seule en scène, utilise les codes du conte oral pour raconter le parcours de trois personnages. Des parcours différents mais dont les directions se rejoignent : au-delà des barbelés, des déserts et des montagnes, une terre d’exil : l’Europe.
“Quand j’ai froid, je pense à l’école où je vais aller, et j’oublie.”. Un homme, une femme et un adolescent pour raconter l’ensemble de ces itinéraires de migration. Praline Gay-Para raconte ces mémoires individuelles, mémoire du corps, des yeux, des pieds. À l’aide de compositions sonores et de manipulations d’objets – petite voiture, cailloux, sable et maquette – la voix de la conteuse donne vie aux personnages. Guidées par l’espoir, ces histoires finissent bien, puisqu’elles nous sont parvenues. Embarquons…
Louise Chevillard
à 19h55, relâche les lundis. Tél : 04 32 74 18 54.
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