Rothko, untitled # 2 de Claire ingrid Cottanceau et Olivier Mellano
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Le 25 septembre prochain, de 10h à minuit, le Théâtre 71 célèbrera les 50 ans de sa création. Visites, performance architecturale, fresque monumentale, apéritif, rencontre, concert, bal : une journée et une soirée de festivités pour relier les belles heures du passé aux aventures prometteuses de l’avenir.
Initialement centre d’animation culturelle, le Théâtre 71 a été fondé en 1971, suite à la construction d’une salle de spectacle sur la place du 11-Novembre, à Malakoff. Tout d’abord dirigée par le metteur en scène Guy Kayat, cette institution dramatique des Hauts-de-Seine (labellisée scène nationale en 1992) est aujourd’hui conduite par Armelle Vernier. « En ouverture de la saison à venir, déclare la directrice, nous célébrerons les 50 ans du Théâtre 71. Une longue et belle histoire que nous fêterons, après une telle absence, avec le goût merveilleux d’une première fois, le plaisir de la place réaffirmée des arts dans nos vies. » Le programme de cette célébration débutera le 25 septembre, de 10h à 17h, par des visites insolites du théâtre organisées par le metteur en scène Didier Ruiz, parcours ponctués de « rencontres intimistes et singulières avec des artistes, des spectateurs et l’équipe du théâtre ».
Le goût merveilleux d’une première fois
Suivront, lors de cette journée pas comme les autres, une performance architecturale imaginée par Johan Le Guillerm (La Transumante, de 11h à 18h), une fresque monumentale sur la façade du théâtre réalisée par l’artiste multidisciplinaire Bonnefrite, ainsi qu’un apéritif (à 12h30) auquel prendront part celles et ceux qui participent à faire vivre la Scène nationale de Malakoff. De 18h à 19h, une rencontre animée par Aude Lavigne sera l’occasion de découvrir « les évolutions et les ambitions du Théâtre 71 en évoquant les contours singuliers de son histoire ». Enfin, de 20h à minuit, un concert et un bal auront lieu au cours desquels s’illustreront le Quintet Papanosh et le vocal-chimiste André Minvielle. Autant d’occasions de célébrer la vitalité d’un théâtre pensé comme un lieu « d’ouverture, de mobilité, d’inclusion et de partage ».
Manuel Piolat Soleymat
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