La Terrasse

"La culture est une résistance à la distraction" Pasolini

Focus -158-dijon

Chair de ma chair

Richard III, un arlequin tragique et pervers

Richard III traverse le destin tragique du dernier roi Plantagenêt. Après Peer Gynt de Henrik Ibsen, Sylvain Maurice poursuit sa réflexion sur les ambivalences du vrai et du faux.

Publié le 10 mai 2008

La marionnettiste allemande Ilka Schönbein investit le récit mémoire d’Aglaja Veteranyi, écrivaine roumaine disparue prématurément en 2002.

Troisième volet de la trilogie Mamans Fatales, Chair de ma chair explore les rapports filiaux à travers les souvenirs d’une narratrice issue d’une famille d’artistes de cirque. Jouant de masques et de marionnettes, s’ordonnant « autour d’une gestuelle magnétique et transformiste d’objets, de musique et de mots », le spectacle d’Ilka Schönbein éclaire l’émouvante personnalité d’une enfant qui a grandi trop vite. Evocations de l’ailleurs, du voyage, de l’errance, de la solitude, ce monologue traversé « par des éclairs poétiques et des éclats de rire » suit les tours et les détours d’une vie chargée de peurs et de mélancolies.
 
Manuel Piolat Soleymat


Chair de ma chair, d’après Pourquoi l’enfant cuisait dans la polenta d’Aglaja Veteranyi ; mise en scène d’Ilka Schönbein. Le 23 mai à 22h et le 24 à 20h30. Chapiteau du Musée archéologique.

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