« Amazigh in situ » de Filipe Lourenço revisite la danse Ahidous.
Avant de s’atteler à une version pour le [...]
Célébrant la danse comme lieu de mémoire et de résistance, Amrita Hepi et Mish Grigor explorent l’ivresse des débuts dans un solo pétillant.
Les émois des amours naissantes, les premiers mots d’une scène, la découverte d’un pays, La Première Gorgée de bière chère à Philippe Delerm, d’où vient l’ivresse des commencements ? Et pourquoi toute chose qui s’achève nous semble-t-elle tellement précieuse ? Dans un solo co-créé avec l’écrivaine et performeuse Mish Grigor, la chorégraphe et danseuse Amrita Hepi mêle avec espièglerie, panache et une formidable aisance le geste et le verbe pour explorer les débuts et ce qui s’en suit.
Le corps comme archive
Celle qui, de double ascendance autochtone australienne et néo-zélandaise, est installée entre Melbourne et Bangkok, voyage de débuts en débuts et de fins en fins, explorant ce que son corps telle une archive vivante recèle. Oscillant entre le politique et le personnel, elle tisse des liens entre des bribes de sa propre vie et l’histoire coloniale, l’histoire de l’art, du féminisme et de la culture populaire. Artiste pluridisciplinaire célébrée de l’Océanie à l’Amérique et figurant parmi les 30 artistes de moins de 30 ans de Forbes, elle célèbre la danse comme lieu de mémoire et de résistance.
Delphine Baffour
à 18h, le 18 à 12h et 18h, relâche le 20.
Tél. 04 90 14 14 14.
Durée : 50 mn
Avant de s’atteler à une version pour le [...]
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Climax, comme on s’en doute, a pour sujet la [...]