Ann-Estelle Médouze et l’Orchestre national d’Île-de-France
Un éloge du concerto baroque (Vivaldi, [...]
Discrète mais grande personnalité, le pianiste français traverse les paysages romantiques dessinés par Schubert, Schumann, Brahms et Liszt.
Enfant prodige, élève dès l’âge de 13 ans de Vlado Perlemuter au Conservatoire de Paris, Michel Dalberto remporte à l’âge de 20 ans le 1er Concours Mozart à Salzburg, le Prix Clara Haskil et le 1er Prix au Leeds International Piano Competition. Un début de vie musicale fulgurant qui aura d’emblée ouvert au pianiste français la voie royale d’une carrière sereine et heureuse, exclusivement dédiée, sur les scènes les plus prestigieuses du monde, à l’exploration passionnée de répertoires choisis, de Mozart à Schubert, et au dialogue chambriste avec des légendes du XXème siècle comme Henryk Szeryng ou Nikita Magaloff. La musique française occupe une place de choix dans son univers comme l’a confirmé avec éclat la parution ces dernières années d’une série de quatre enregistrements « live » pour le label Aparté, consacrés à Debussy, Franck, Fauré et Ravel, tous joués sur un piano différent spécifiquement choisi en fonction du compositeur. En ouverture de son prochain récital parisien, Michel Dalberto a choisi le compositeur dont il est le seul pianiste vivant à avoir enregistré l’œuvre intégrale pour piano, Schubert, avec la Sonate n° 15 D.840 « Reliquie », puis, sans quitter ces terres romantiques où il se sent chez lui, Schumann (Kreisleriana op. 16), Brahms (6 Klavierstücke op. 118) et Liszt (Études d’Exécution transcendante S.139 : n°10 en fa mineur, n° 11 « Harmonies du soir » & n° 12 « Chasse-neige »)
Jean Lukas
à 20h30. Tél. 01 49 53 05 07.
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