Emmanuel Noblet adapte « Article 353 du Code pénal » de Tanguy Viel, le point de bascule d’une vie entravée.
Dans un presque-monologue reprenant [...]
Spectacle soutenu par la région Hauts-de-France, J’ai plusieurs terres explore les difficultés à se construire une identité d’une jeune femme afro-descendante. Un seule en scène d’inspiration autobiographique.
Femme noire, née en Belgique, de famille gabono-franco-portugaise vivant en France, Mavikana Badinga jongle avec les identités, les territoires d’attache et les racines. Ce devrait être simple à l’heure de la mondialisation… Mais évidemment, l’invisibilisation des personnes racisées et des femmes ne l’aide pas à se construire une histoire, à se trouver des modèles pour tracer des chemins de vie. Dans son texte publié aux éditions Koïnè, Mavikana Badinga plonge dans son histoire familiale pour éclairer les difficultés qu’elle rencontre, dans un récit autobiographique où le parcours personnel se mêle à l’Histoire.
Puiser une force de vie dans le métissage
En compagnie d’un grand-père, homme politique acteur de l’indépendance du Gabon, d’un styliste de renommée internationale mais inconnu en France, d’une autrice célébrée aux États-Unis, la jeune femme trouve dans J’ai plusieurs terres des figures inspirantes. Tandis que traînent encore largement les stigmates de la colonisation et de la culture de la Françafrique, ce spectacle où se mêlent les supports (archives audio, vidéo et musicales) cherche en fin de compte comment puiser une force de vie dans le métissage.
Eric Demey
à 21h, relâche les 8,15 et 22.
Tel : 09 74 74 64 90.
Durée : 1h10
Dans un presque-monologue reprenant [...]
Spectacle soutenu par la région Grand-Est, Ma [...]
Amoureux des grandes figures historiques et [...]