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Avec M. Un amour suprême qu’il crée au Théâtre des Halles, Gustavo Giacosa clôture sa trilogie autour de l’Art Brut.
Pour Gustavo Giacosa, le théâtre mérite d’aller à la rencontre des artistes d’Art Brut, qu’il décrit comme « souvent éloignés des conditionnements culturels et indifférents aux exigences du marché de l’art, portant dans leurs œuvres un regard critique, parfois féroce, sur une société qui les exclut ou dans laquelle ils refusent catégoriquement de s’inscrire ». Après un spectacle consacré à Fernando Nannetti qui gravait des textes sur les façades de l’hôpital psychiatrique de Volterra en Italie, puis une création sur Giovanni Galli qui dessine pour « sublimer l’attente d’une explosion nucléaire libératrice qui lui permettrait de devenir femme », c’est sur le cas Melina que se penche l’auteur et metteur en scène. Incarnant divers personnages entourant cette figure emblématique de la contre-culture italienne, l’artiste relate dans M. Un amour suprême la longue relation que lui et son complice musicien Fausteo Ferraiulo également au plateau ont entretenue avec leur fascinant sujet. Cela afin d’approcher l’objectif ultime de cette artiste hors normes : reconstruire le Paradis sur Terre.
Anaïs Heluin
à 11h, relâche les 9, 16 et 23 juillet.
Tel : 04 32 76 24 51.
Durée : 1h15.
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