« Le Premier Homme » d’Hugues Leforestier chamboule le couple et le pouvoir
Depuis Platon, il faut que le philosophe soit [...]
Réjane Kerdaffrec a adapté le roman d’Andrée Chedid avec Brigitte Biasse et le met en scène avec Fabrice Drouelle : le parcours d’un message d’amour pour signer la défaite des porteurs de mort.
« Quelque part sur cette terre (…) dans une ville dont il ne reste plus que des immeubles détruits et des rues désolées, encombrées de gravats, de détritus et d’objets divers abandonnés par les habitants dans leur fuite. » Comme partout où les hommes trouvent plus doux de tuer leur frère que de boire aux fontaines, les plaies sont à vifs, les êtres exacerbés dans l’héroïsme ou l’ignominie, et l’amour semble impossible. Ainsi celui qui sépare autant qu’il unit Stéphane et Marie. « Dans une lettre pleine de tendresse qu’elle vient de recevoir, il lui demande d’oublier leurs années de relation orageuse, leurs querelles stériles et de le rejoindre pour vivre l’indéfectible amour qui depuis l’enfance les unit. La balle d’un snipper foudroie la jeune femme dans son élan, au milieu d’une rue désertée. » La réponse de Marie parviendra-t-elle à celui qu’elle aime ? La vie l’emportera-t-elle sur la mort ?
Catherine Robert
à 11h45. Relâche le mardi.
Tél. : 04 13 66 36 52.
Durée : 1h.
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