Elles(s)
Marjorie Nakache revisite les classiques, les [...]
Du 23 au 30 octobre, des artistes venus du monde entier explorent, sur les scènes de l’agglomération lyonnaise, les notions de mémoire, d’identité et de résistance. C’est la troisième édition du festival international Sens Interdits, organisée par le Théâtre des Célestins.
Du 23 au 30 octobre, des artistes venus du monde entier explorent, sur les scènes de l’agglomération lyonnaise, les notions de mémoire, d’identité et de résistance. C’est la troisième édition du festival international Sens Interdits, organisée par le Théâtre des Célestins.
Ils viennent du Chili, de Pologne, du Liban, d’Egypte, de Russie, du Cambodge, de Croatie, d’Espagne, de Hongrie, de Slovénie, d’Allemagne, d’Argentine, de France… Ils présentent leur création sur les scènes de 10 institutions de l’agglomération lyonnaise (Célestins, TNP, Subsistances, Théâtre de L’Elysée…). Ce sont les femmes et les hommes de théâtre qui participent à la 3ème édition de la biennale Sens Interdits. « Les artistes veillent !, lance Patrick Penot, codirecteur du Théâtre des Célestins et directeur artistique du festival. Ils sont vent debout, comme leur théâtre ! Ils sont pleins de force et d’humour. Ils réveillent les mémoires et secouent les consciences. Le temps d’un événement que nous souhaitons rassembleur, festif et convivial, ils feront des scènes de notre métropole un espace de dialogue où les histoires d’ailleurs feront résonner celles d’ici. » Une façon de dire, en ces temps troublés, chaotiques, « l’incandescence du monde ».
Manuel Piolat Soleymat