« Nyotaimori » de la Cie Ces Messieurs Sérieux, ou comment le capitalisme dépossède les travailleurs de leurs corps
L’autrice québécoise Sarah Berthiaume [...]
Créé dans le Off, en 2024, au Théâtre de L’Oriflamme, la pièce de Clémence Baron est reprise dans le même théâtre. L’histoire de Niki et Veronica, deux orphelins qui se retrouvent 20 ans après leur séparation…
Le diable, c’est Nicolae Ceaușescu, dictateur roumain qui mit en place, dans les années 1970, une politique nataliste volontariste accompagnée de l’institutionnalisation des abandons et d’un plan de multiplication des orphelinats. Un soir de 2009, vingt ans après la chute de l’autocrate, Veronica frappe à la porte de l’appartement de son frère Niki. Tout les sépare. Veronica a été élevée en France, après avoir été adoptée à l’âge de 10 ans. Elle est devenue une vedette de la chanson. Niki, lui, est resté dans leur orphelinat, avec leur sœur autiste. Ces retrouvailles sont difficiles. Des blessures douloureuses se rouvrent… Interprété par Clémence Baron et Antoine Cafaro, mis en scène par Patrick Zard’, Les Enfants du diable questionne les répercussions dramatiques de la maltraitance et du déracinement.
Manuel Piolat Soleymat
à 14h25. Relâche les mercredis.
Tél. : 04 88 61 17 75
Durée : 1h10
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