Le rappeur JoeyStarr met en scène « Cette petite musique que personne n’entend », l’histoire d’une femme qui tombe et se raccroche aux hommes de sa vie
Dans son premier texte, la comédienne [...]
Le Théâtre du Kronope marie la magie du verbe à celle de l’image pour une Tempête qui fait naître le rêve. Les masques révèlent les profondeurs de l’âme en un théâtre baroque, haletant et déjanté.
Prospero, dépossédé de son duché milanais par la fourberie de son frère et la complicité du roi de Naples, se fait le metteur en scène d’une leçon de morale destinée à rééduquer les vicieux. Avec l’aide d’Ariel, esprit de l’air, il provoque une tempête qui fait s’échouer le navire de ses bourreaux sur l’île dans laquelle il est relégué avec sa fille Miranda, élevée loin des humains et de leur vilenie. En se faisant maître de la nature et de ses créatures (dont l’ignoble Caliban), Prospero domestique sa propre tempête intérieure et accède au pardon. « La Tempête ouvre grand les portes de l’imaginaire et laisse libre cours à une mise en scène délirante et débridée, à des chassés-croisés burlesques et farfelus ». La pièce révèle l’inventive poésie de l’esthétique du Kronope : « parti-pris du masque, travail des acteurs à la limite du cirque et de la danse, décor fait de courbes fluides et intemporelles », surgi de l’extraordinaire manteau de Prospero, imaginé par Joëlle Richetta. Les enchanteurs du Kronope installent Shakespeare au pays des merveilles.
Catherine Robert
à 17h45. Relâche les 12 et 19 juillet. Tél. : 04 90 86 47 81. Durée : 1h35. À partir de 10 ans.
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