La Terrasse

"La culture est une résistance à la distraction" Pasolini

SHALL WE DANCE?

Blow the bloody doors off

Avec Blow the bloody doors off (Faire sauter ces putains de portes !), Catherine Diverrès s’inspire de Rimbaud, d’Einstein et de Pessoa, pour nourrir une chorégraphie dont le sujet central est le temps qui passe.

Création 2016/ chor. Catherine Diverrès / Scén. Laurent Peduzzi / Mus. Jean-Louis Guionnet et l’Ensemble Dedalus

Publié le 27 février 2016

Avec Blow the bloody doors off (Faire sauter ces putains de portes !), Catherine Diverrès s’inspire de Rimbaud, d’Einstein et de Pessoa, pour nourrir une chorégraphie dont le sujet central est le temps qui passe.

Acuité, fragilité, immédiateté sont les alternatives que « le grand Fléau du Temps nous offre ». Catherine Diverrès s’en saisit pour explorer les phénomènes complexes de la perception. Entre illumination et théorie de la relativité, spontanéité de la pensée et du geste, ou immobilité zen, elle interroge l’éprouvé de la sensation. Avec huit danseurs et sept musiciens, elle travaille une mémoire enfouie dans les corps et cet événement éphémère qu’est la danse. La chorégraphe veut « éprouver l’infini variété des vitesses du jaillissement qui accélère notre pouls au ralentissement extrême où se trouve le point immobile ».

 

Agnès Izrine

 

http://www.compagnie-catherine-diverres.com/

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