Le Musée de l’Orangerie poursuit sa démarche qui consiste à inviter des danseurs et chorégraphes à s’emparer de cet espace si particulier du musée, conçu sur mesure pour être habité par les fameuses Nymphéas de Claude Monet. Aujourd’hui, c’est Myriam Gourfink qui prend à bras-le-corps la notion d’immersion que l’on ressent dans les deux salles circulaires, installé au cœur de l’œuvre. Pour cette nouvelle recherche, la chorégraphe s’est tout d’abord attachée à la sensation physique du glissement, ou comment cette quasi perte d’équilibre peut déterminer une certaine façon d’aborder le mouvement. Avec pour point de départ la tête, elle engage ses quatre danseuses dans un ensemble de contraintes spécifiques, jusqu’à une écriture sinueuse et reptilienne telle une fresque en mouvement.
N. Yokel
à 19h et 20h30. Tél. : 01 53 45 17 17
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