Lettres de mon moulin, Texte Alphonse Daudet, mise en scène Philippe Caubère
Avec la volonté affirmée d’amuser et de [...]
Focus -293-Les Hivernales du Festival d’Anjou, quand les soirs d'été jouent les prolongations...
Un auteur écrit pour un comédien. Puis un metteur en scène met en image un flux de pensées et de sensations. Le spectacle porté par Aurélien Bory, Denis Podalydès et Jean-Philippe Toussaint relève le pari délicat de faire avec la mort…
Il y a eu la déflagration, puis il y a le fauteuil roulant… Entre les deux, l’attentat, dont l’homme qui parle a été victime dans un café. L’âme est en miettes et le corps est disloqué : tout est dispersé. L’homme essaie de ressaisir ses souvenirs devant une fenêtre à Ostende. Dehors, un chantier : on construit un haut mur qui assombrit progressivement la chambre dans laquelle vit le reclus. Pensées et souvenirs s’obscurcissent à leur tour. La déflagration semble revenir. Qui disparaît vraiment lorsque survient la mort : ce qui est vu ou celui qui voit ? Denis Podalydès explore cette question métaphysique en donnant corps et voix au texte de Jean-Philippe Toussaint.
Catherine Robert
Les Hivernales du Festival d’Anjou
Tél. : 02 41 88 14 14.
www.leshivernalesdufestivaldanjou.com
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