« O Future » de Thierry Pécou, création lyrique sur l’urgence écologique
Sur une partition de Thierry Pécou et un [...]
Focus -314-Le théâtre de Caen, ancrages multiples
Denis Podalydès transpose Falstaff mais en garde l’esprit.
Le testament lyrique de Verdi est une suite virtuose, une fuite en avant qui réclame théâtre et rythme, farce et profondeur. « Si on ne joue que la farce, la cruauté du livret est extrêmement désagréable, souligne Denis Podalydès. Si on prête attention à la musique, on est embarqués, pris comme dans une sorte de train fantôme qui va à toute vitesse. Ça doit être drôle, mouvementé et puis soudain, ça se tempère. Le sérieux ramène le rire ». Pour le sérieux, l’opéra est campé à l’hôpital (décors d’Éric Ruf, costumes de Christian Lacroix), antichambre de la mort – mais antichambre seulement : demeure encore la vie – pleine – de Falstaff, et donc le rire. La musique est servie par le chef Antonello Allemandi et le baryton Tassis Christoyannis, qui emmène une jeune et belle distribution.
Jean-Guillaume Lebrun
Tél : 02 31 30 48 00.
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