« Quichotte », Gwenaël Morin part à l’assaut du chef-d’œuvre de Cervantès
Gwenaël Morin continue à « démonter les [...]
Dans Barulhos Bouba Landrille Tchouda confronte six corps aux grondements du monde.
Issu du hip-hop, Bouba Landrille Tchouda prône le métissage, dans sa danse comme dans la société, et s’emploie à tisser des liens. Pour Barulhos, qui signifie « bruit » en portugais, il plonge six danseuses et danseurs dans un bain de vibrations, les plaçant devant un mur d’enceintes dont s’échappent les grondements du monde, et organise la résistance. Le bruit, raconte le chorégraphe, c’est ce qui nous dérange, ce dont nous cherchons à nous extraire, mais il est aussi signifiant, car en faisant du bruit on interpelle. En témoigne la voix de Zelenski qui s’échappe des baffles.
Delphine Baffour
à 18h45. Relâche le 10 juillet. Tél. 04 90 85 12 71. Durée : 1h50 (trajet navette inclus).
Gwenaël Morin continue à « démonter les [...]
L’asile de la pureté de Claude Gauvreau, [...]
Que sont devenues la marquise de Merteuil et [...]