Le batteur de l’afro-beat revient en secret agent.
De lui, Fela disait qu’il jouait comme « cinq batteurs ». Sans lui, le porte-parole nigérian n’aurait sans doute pas trouvé sa voie : l’afro-beat. Biberonné de jazz, Tony Allen fut l’alter ego du saxophoniste, son indispensable débatteur au cours des glorieuses années de l’Africa 70. Avant de la quitter et de s’installer à Paris, où il connaît une seconde jeunesse avec le label Comet qui enregistre une poignée de disques dont « Homecooking » ou le récent « Secret Agent ». Toujours arrimé à la bande-son de ses origines : l’afro-beat. « C’est ma fondation et ma mission, l’essence qui me permet d’aller encore plus loin. »
Samedi 21 janvier à 20 h 30 au Théâtre Victor-Hugo de Bagneux (92). Tél. : 01 46 63 10 54. Places : 19 €.