Ed Motta ou l’invitation au plaisir
Ce crooner brésilien signe un album gorgé de [...]
Langage de gestes multidisciplinaires, le soundpainting utilise plus de 1200 signes et ouvre de passionnantes possibilités de composition en temps réel.
Inventé par l’américain Walter Thomson en 1974 à New York (à sa sortie de la Berklee School of Music), importé en France il y a 15 ans par François Jeanneau, le Soundpainting n’a cessé depuis, discrètement mais sûrement, de susciter des vocations et d’inspirer des adeptes. Un festival parisien, tout nouveau tout beau, se propose d’éclairer ce mouvement artistique basé « sur un langage de signes, universel et multidisciplinaire, permettant la composition en temps réel ». Plus de cent artistes sont mobilisés par le festival, répartis dans 10 ensembles à l’affiche de sept lieux de spectacles. Et comme François Cotinaud, instigateur de l’événement, fait bien les choses, stages, master classes (de Walter Thomson en personne) et actions de sensibilisation complètent la programmation.
Jean-Luc Caradec
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