"La culture est une résistance à la distraction" Pasolini
Quelque part entre le steampunk et Die Brücke, le deuxième spectacle du Cirque des Mirages réconcilie le théâtre musical populaire et une vraie poésie sociale.
Ils arrivent à peupler tout un cabaret à deux. Un jeu de piano simple et expressif, passant du bastringue au virtuose, plantant l’atmosphère ou campant un rôle, soutient et répond à l’interprétation parlée-chantée, un chant qui ose l’adresse directe au public tout en s’inspirant de l’opéra comique, toujours en clair-obscur. Tout un imagier atemporel, quelque part entre le XIXème, les années 30 et aujourd’hui, un monde recréé par la musique, entre bouges portuaires et voyages homériques, où l’insolite est beauté.
V. Fara
Un jeu de cordes entre musiques world et [...]
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