La Nouvelle Athènes célèbre le piano romantique
Aux sources du piano romantique à la Salle Cortot.
Le jeune claveciniste en solitaire dans les Variations Goldberg puis en duo avec le luthiste Thomas Dunford.
Le 17, à midi et demi, Jean Rondeau fera face à son clavecin dans le bel auditorium du Musée d’Orsay pour jouer les Variations Goldberg de Bach et le 19, à 20 h 30, il y retrouvera le luthiste Thomas Dunford pour un récital de pièces de Jean-Philippe Rameau, Antoine Forqueray, Marin Marais, Robert de Visée, François Couperin et Jean-Henri d’Anglebert. Deux facettes de l’art protéiforme d’un des musiciens les plus accomplis de notre temps : il aurait pu donner en plus un concert de jazz sur le Gaveau du musée. Artiste singulier, il chante sur le clavecin avec ce mélange insolent de liberté agogique et de transparence contrapuntique qui fait vivre la musique avec une fantaisie narrative, une éloquence qu’on aimait tant chez Blandine Verlet qui fut son maître.
Alain Lompech
Mardi 17 décembre à 12h30 et jeudi 19 à 20h. Tél. : 01 53 63 04 63.
Aux sources du piano romantique à la Salle Cortot.