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Le pianiste germano-russe revient à Bach et Beethoven avant d’exprimer sa fibre russe dans Chostakovitch et Prokofiev.
Igor Levit a publié son premier album chez Sony, il y a bientôt huit ans de cela. Juste après ces dernières Sonates de Beethoven, il publiait l’intégrale des six Partitas de Bach. Deux choix qui montraient les exigences musicales et philosophiques d’un jeune homme né en 1987 en Russie et installé en Allemagne huit ans plus tard. Depuis cette époque, sa carrière l’a fait applaudir partout et les caméras installées chez lui ont amené chaque jour son piano dans des dizaines de milliers de foyers pendant la pandémie de Covid. Lors de son prochain récital parisien, il jouera ses chers Beethoven et Bach, mais aussi quelques Préludes et Fugues de Chostakovitch et la Septième Sonate de Prokofiev.
Alain Lompech
à 20h. Tél. : 01 49 52 50 50.
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