Hommage à la divine voix du Moyen-Orient.
« En chacun de nous, il y a une Oum Kalthoum, tantôt triste, tantôt joyeuse, tantôt aimée, tantôt trahie, romantique, forte, revendicatrice ou révoltée… » Le oudiste Moufadhel Adhoum résume l’aura de l’astre de l’Orient qui continue d’éclairer les âmes des nouvelles chanteuses arabes. C’est le cas de la Tunisienne Ghalia Benali qui dit avoir été fascinée dès ses cinq ans par « El Atlal » et cette mystérieuse voix androgyne. A écouter la version qu’elle livre en conclusion de cet album tout à la fois sophistiqué et épuré, on pourrait aisément lui retourner le compliment.
Samedi 28 janvier à 20h30
au grand théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines (78). Tél. 01 30 96 99 00. Places : 6 à 21 €.