« Didon et Énée » avec Sonya Yoncheva et l’Orchestre de l’Opéra Royal dirigé par Stefan Plewniak
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La pianiste explore le thème de la rêverie et de la mélancolie chez quelques romantiques : Mahler, Schubert et Chopin.
L’errance romantique, celle de Caspar David Friedrich, d’Eichendorff ou d’Hölderlin, s’est incarnée au plus haut point dans la musique de Schubert. Ses Impromptus op. 90, entre balade et rêverie, semblent poser sur le monde un regard aussi perdu que perçant. Claire-Marie Le Guay les rapproche judicieusement de deux Études de Chopin (op. 10 n° 1 et op. 25 n° 1), ainsi que du premier de ses Nocturnes – la nuit, le moment où « l’âme romantique » se révèle dans le rêve. Ce beau programme s’ouvre avec une transcription (due à la pianiste Beatrice Berrut) de l’Adagietto de la Cinquième Symphonie de Mahler : on n’est guère allé plus loin dans l’impression de temps suspendu et l’introspection mélancolique.
Jean-Guillaume Lebrun
à 19h30. Tél. : 01 41 37 94 21.
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