Angelo, tyran de Padoue

Drame romantique sur le pouvoir et la condition féminine, Angelo, tyran de Padoue dessine les lignes d’un quatuor amoureux aux destins contrariés. « Nous souhaitons travailler sur la palpitation des sentiments, sur les palpitations d’une jeunesse en soif d’idéal, en soif d’amour, en manque d’espace, confie Cécile Arthus, raconter la nécessité de ses frémissements pour avoir la sensation d’être en vie, au cœur d’un vertige, dans la vibration du sentiment qui donne sens à l’existence. » La jeune metteure en scène investit l’œuvre de Victor Hugo en veillant à ne pas se laisser étourdir par sa langue, et à « pencher du côté́ de l’épique plutôt que du lyrique, du côté du dire plutôt que du pathos ».

Manuel Piolat Soleymat