Thomas Hengelbrock dirige l’Orchestre de chambre de Paris dans un programme classique mais semé de découvertes
Belle rentrée pour l’orchestre dirigé par [...]
Laurence Equilbey lance sa saison à La Seine musicale avec la Cinquième Symphonie de Beethoven et deux partitions, bien plus rares, de Max Bruch.
Son célèbre Concerto pour violon en sol mineur suffit à inscrire Max Bruch parmi les maîtres du romantisme allemand. Rares pourtant sont les orchestres à s’aventurer plus loin, comme le fait Laurence Equilbey pour ce programme où figure l’ouverture de Die Loreley, grand opéra plein d’une atmosphère romantique que n’auraient pas reniée Weber, Mendelssohn ou même le jeune Wagner. Suit le Concerto pour clarinette, alto et orchestre, chef-d’œuvre tardif (1911). Bruch s’y montre merveilleux mélodiste et orchestrateur subtil. Il n’y a ici aucune esbroufe, aucune virtuosité gratuite : c’est presque de la musique de chambre, et cela convient très bien aux solistes – le clarinettiste Pierre Génisson et Miguel Da Silva, altiste fondateur du Quatuor Ysaÿe – comme à l’esprit d’Insula Orchestra.
Jean-Guillaume Lebrun
à 20h. Tél. : 01 74 34 53 53.
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