Rémi d’après Hector Malot, mis en scène par Jonathan Capdevielle
Jonathan Capdevielle est de retour avec le [...]
Focus -279-Nanterre~Amandiers, Centre dramatique national
Poursuivant son exploration de la violence, Milo Rau monte une Orestie moderne avec des comédiens irakiens et européens.
Milo Rau, le directeur du NTGent, met en scène l’engrenage de la violence à l’œuvre dans l’Orestie d’Eschyle en Irak, à Mossoul, déclarée capitale du califat de l’État Islamique de 2014 à 2017. Comme dans ses précédents spectacles, Les Procès de Moscou (2013) ou Le Tribunal sur le Congo (2015), le metteur en scène d’origine suisse appelle le réel à la barre, au sens littéral puisque la troisième partie convoque un tribunal destiné à trancher cette question brûlante : faut-il pardonner ou tuer les anciens combattants de Daech ? Si la trilogie d’Eschyle décrit la naissance de la civilisation à travers le pardon, pour Milo Rau, poser la question de la fin de la violence dans le contexte chaotique du nord de l’Irak aujourd’hui rend la question proprement tragique.
Isabelle Stibbe
à 20h30, sauf le 12 à 19h30, le 14 à 18h. Lire notre entretien avec Milo Rau dans ce numéro.
Tél : 01 46 14 70 00. Dans le cadre du Festival d’Automne à Paris.
Jonathan Capdevielle est de retour avec le [...]
Une pièce qui fit les riches heures de la [...]
Gwenaël Morin s’inspire d’Antonin Artaud pour [...]