Après avoir été une phalange de référence dans la musique française, sous le mandat de Michel Plasson, l’Orchestre du capitole de Toulouse est devenu, depuis l’arrivée à sa tête de Tugan Sokhiev, spécialiste du répertoire slave. La saison dernière, à la Halle aux grains, le chef ossète galvanisait une fois de plus ses musiciens et le public dans une Symphonie n°7 de Dvorak d’anthologie. A la Salle Pleyel, il propose en première partie deux raretés : Le Lac enchanté de Liadov et le Concerto pour violon de Khatchaturian (avec en soliste l’archet limpide, mais parfois lisse, de Sergey Khatchatrian). En deuxième partie, un choix plus étonnant : les Variations Enigma d’Elgar, dont le mouvement Nimrod est d’une émotion bouleversante.
A. Pecqueur
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