L’une des pages les plus célèbres du répertoire sacré figure au programme de ce concert de la Philharmonie : le Stabat Mater de Rossini, écrit en 1831 et véritablement achevé en 1842. Même si la partition ne fut pas du goût de Wagner, qui n’entendit que de « petits contrepoints qui sentent le patchouli », elle est aujourd’hui considérée comme un bijou d’écriture, aux frontières de la musique religieuse et de l’opéra. Spécialiste du bel canto en général et de Rossini en particulier, le chef Enrique Mazzola dirige l’Orchestre national d’Île-de-France et le Chœur de l’Orchestre de Paris.
I. Stibbe
à 20h30. Tél. : 01 44 84 44 84. Places : 15 à 25 €.
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