Plus riche de timbres et d’inflexions que le piano, moins envahissant que l’orchestre, le sextuor à cordes se révèle un merveilleux partenaire pour la mélodie – comme le montrent les Wesendonck-Lieder de Wagner dans cette transcription de Christophe Looten ou le superbe Maiblumen de Zemlinsky, sur un poème de Richard Dehmel. C’est ce même poète qui inspira à Schoenberg La Nuit transfigurée, chef-d’œuvre de la littérature pour cordes, que les musiciens viennois interprètent ici, de même que le Sextuor tiré de l’opéra Capriccio de Richard Strauss.
J.-G. Lebrun
à 20h. Tél. : 01 49 52 50 50.
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