En résidence au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, le compositeur et pianiste Franck Krawczyk y a présenté cette saison des programmes faisant la part belle à la surprise : chambristes aux prises avec la lutherie électronique ou musiques « scandaleuses » au long du XXe siècle. Ce troisième concert a pour prétexte le cinéma : la scène finale d’À bout de souffle de Jean-Luc Godard, réinterprétée en boucle par le vidéaste François Salès et par le compositeur au piano, devient l’objet de variations. La musique devient alors le révélateur des images.
J.-G. Lebrun
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