Promenade de santé romantique pour l’orchestre parisien qui, sous la houlette de son directeur musical Daniele Gatti, aligne des œuvres de poids de Wagner (Les Maîtres chanteurs de Nuremberg, prélude de l’Acte III), Strauss (Mort et Transfiguration) et Bruckner (Symphonie n° 4), le 16, puis de Dvořák (Concerto pour violoncelle) et Mahler (Symphonie n° 1 « Titan »), une semaine plus tard. Daniele Gatti fait à cette occasion sa rentrée parisienne après un séjour milanais remarqué, où il a eu l’honneur d’ouvrir la saison de la Scala avec La Traviata à la date rituelle du 7 décembre. Autre temps fort de la saison pour le chef italien, sur cette même scène du Théâtre des Champs-Elysées : le 24 avril pour fêter le 80ème anniversaire de l’Orchestre National de France, avec au programme Oedipus Rex de Stravinsky et la participation du comédien Pierre Arditi.
J. Lukas
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