« Péplum médiéval » de Valérian Guillaume, mise en scène Olivier Martin-Salvan, un conte aux accents moyenâgeux
Fruit d’une commande du comédien et metteur [...]
Une jeune fille s’isole dans le monde virtuel tandis que son père s’adonne à d’étranges rituels, c’est La solitude des mues qui raconte l’éternel possible des métamorphoses.
Après Daddy Papillon, la folie de l’exil, la compagnie Ginko persiste et signe dans un théâtre pluridisciplinaire. Avec La solitude des mues, les métamorphoses de l’adolescence – et des âges plus avancés – constituent le terrain de jeu d’un spectacle oscillant entre réalisme et onirisme dans un univers japonisant. Limite hikikomori – ces ados qui perdent tout contact reclus dans leurs chambres devant leurs écrans – Kiki vit avec son père mais surtout avec ses avatars kawaï, tout mignons. Le jour où elle bascule, son père trouve refuge dans la forêt, sous un tapis de feuilles. Histoire des métamorphoses qui guettent chaque âge de la vie, La Solitude des mues conjugue les arts dans un voyage sonore et visuel qui rappelle qu’on peut toujours se régénérer et interroge la place des écrans dans nos vies.
Eric Demey
du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h30. Tel : 01 43 28 36 36.
Fruit d’une commande du comédien et metteur [...]
Cette 4e édition du Festival Dia(s)porama, [...]