Jean-Claude Casadesus est sur un petit nuage. Il savoure (enfin !) la nouvelle acoustique de sa salle de concerts lilloise, entièrement rénovée et inaugurée en janvier. Pour sa venue ce mois-ci à Paris, il a choisi une œuvre hautement dramatique, le Requiem de Verdi, dans laquelle le sacré et le théâtre ne font qu’un. Les parties vocales seront tenues par la soprano Veronika Dzhioeva, la mezzo-soprano Lilli Paasikivi, le ténor Stuart Neill et la basse Roberto Scandiuzzi, sans oublier la participation du Chœur philharmonique tchèque de Brno, aux graves légendaires. Nul doute enfin qu’avec l’Orchestre national de Lille, les cuivres et la grosse caisse apocalyptique du Dies irae verdien devraient faire trembler les murs de la Salle Pleyel.
A. Pecqueur
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