Une fois n’est pas coutume, Evgeny Kissin présente un programme où ne figure ni musique russe ni Chopin. Un mélange de formes en revanche pour ce programme intelligemment construit : à la fantaisie de la Sonate n° 59 en mi bémol majeur de Haydn succède celle, doublée d’invention, de l’ultime sonate de Beethoven. La seconde partie est consacrée à des formes plus brèves : quatre Impromptus tirés des op. 90 et 142 de Schubert et la Rhapsodie hongroise n° 12 de Liszt, une œuvre que l’ex-jeune prodige du piano mûrit depuis trois décennies et qui a souvent servi de signature virtuose à ses récitals.
J.-G. Lebrun
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