Festival du Périgord noir avec l’Ensemble Diderot de Johannes Pramsohler, Karol Beffa, Baiju Bhatt, Marianna Bednarska, Airelle Besson…
Du 6 août au 10 août, ce fringant vétéran du [...]
L’orchestre parisien ouvre sa saison avec un programme tout Beethoven.
La romance, la noblesse, la joie espiègle… Il y a quelque chose d’assez naïf à vouloir illustrer par la musique le répertoire des sentiments humains. Pour autant, leur expression, chez Beethoven, est évidente. Dans le concerto L’Empereur, la noblesse, le caractère souverain, ne tiennent pas seulement à une tonalité ou à quelque clin d’œil : c’est toute l’architecture de l’œuvre, la force, la pureté de son dessin, qui lui confèrent sa majesté. Une construction qu’il ne s’agit pas de surjouer, bien au contraire, et le choix pour soliste d’un pianiste humble et intelligent comme François Dumont est une excellente initiative. La Romance pour violon et orchestre op. 50 (avec le violon solo Arnaud Nuvolone) et la joyeuse fantaisie rythmique de la 8e Symphonie complètent ce triptyque beethovénien.
Jean-Guillaume Lebrun
à 16h. Tél. : 01 42 78 10 00.
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