
Dans la lignée d’une première saison qui a donné un nouvel élan au Théâtre de l’Archipel, Jackie Collet-Surjus défend, malgré la crise économique, une politique audacieuse. La programmation pluridisciplinaire, avec des temps forts bien identifiés, se veut comme un point de convergence, au théâtre et hors les murs, ouvert à tous, pour mieux habiter le monde d’aujourd’hui.