Quand on pense à lui, impossible de ne pas prononcer le mot « groove ». Biberonné à l’histoire de la Great Black Music, Éric Legnini se nourrit autant du swing de Phineas Newborn que des beats de J Dilla. Serti de mélodies capiteuses et de rythmes addictifs, son univers invite à la danse tout comme à la rêverie. Toujours épaulé par son contrebassiste et son batteur fétiches (Thomas Bramerie et Franck Agulhon), l’infatigable pianiste belge vient de sortir un troisième disque en moins de deux ans, l’épatant Sing Twice.
M. Durand
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