Le Directeur musical de l’Orchestre national de France retrouve son fringant orchestre sur instruments d’époque, La Chambre philharmonique, pour le second concert de son intégrale des symphonies brahmsiennes. Après avoir confronté la deuxième Symphonie op. 73 au premier Concerto pour piano op. 15, il fait entendre cette fois-ci la première Symphonie op. 68 en regard du second Concerto pour piano op. 83, sous les doigts du jeune et passionnant pianiste allemand Martin Helmchen. Si l’influence beethovénienne est clairement perceptible dans cette première symphonie, Brahms perce toutefois déjà sous Beethoven, et révèle toute sa splendeur dans le second concerto. En outre, le jeu sur instruments anciens redonne légèreté et transparence à un compositeur que l’on considère parfois – à tort – comme empesé.
J. Lukas
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