Notre confrère Christian Merlin vient de lui consacrer un bel ouvrage, Le Philharmonique de Vienne, Biographie d’un orchestre (Buchet Chastel, 2017). C’est le moment de venir entendre « en vrai » au Théâtre des Champs-Élysées cette phalange mythique. On peut compter sur la baguette du brillant chef letton Andris Nelsons – directeur musical du Boston Symphony Orchestra et, bientôt, du Gewandhaus de Leipzig – pour mettre en valeur la chaleur presque sombre des cordes et la sonorité fine des vents de cette formation d’exception, et ce dans un programme idoine : la bucolique Symphonie n°6 op. 68 « Pastorale » de Beethoven et le « romantiquissime » Concerto pour violoncelle op. 104 de Dvorák, avec en soliste le violoncelliste solo de l’Orchestre, Tamás Varga.
A. Pecqueur
à 20h. Tél. 01 49 52 50 50. Places : 5 à 165 €.
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