Avant d’explorer l’univers de Mustahfa Kalifé (La Coquille), c’est avec des pièces de Dennis Kelly (After the end) et Leonid Andreiev (La Pensée) qu’Olivier Werner entame sa trilogie sur le thème de l’enfermement. « Qu’il soit créé et (ou) subi, l’enfermement met en jeu une énergie vitale extrême et changeante que la scène peut traduire, fait observer le comédien et metteur en scène. Le corps et le lieu peuvent être des forces déclenchantes de cette énergie. Mais aussi se faire l’écho d’une source abstraite, la possibilité de la folie. » Spectacle traitant du lien étroit entre claustration physique et troubles mentaux, La Pensée fait suite à After the end, un travail sur « l’enfermement comme fantasme sociétal et psychique ». Ces deux créations, présentées à La Fabrique mc11, envisagent la réclusion « comme un ultime recours, une ordalie vers la liberté ».
Manuel Piolat Soleymat
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