Les Diabaté père et fils se promènent dans les arpèges, les soutiens harmoniques qui déclinent des thèmes, les mélodies où affleure la narration mandingue. Et sous cette technique implacable, virtuose, ancrée dans une culture africaine prégnante, maîtrisant l’art du contrepoint où se répondent jusqu’à six ou huit voix musicales pour deux joueurs, on devine les apocopes rythmiques de notre siècle, les ruptures judicieuses, l’inventivité qui parfait la tradition.
Vanessa Fara
Mardi 21 mars à 20h30. Tél. 01 34 45 97 60. Places : 10 à 16€.
Dans cette création, Sébastien Laurent oppose [...]
Du texte, de la vidéo, des costumes, des [...]
Le titre même est un titre à tiroirs et [...]