Déception après les espoirs immenses qu’a fait naître le dessein démocratique sud-africain suite à la chute du régime d’apartheid. Colère face au populisme qui contamine les Etats-Unis et l’Europe. C’est ce profond désenchantement qui a donné naissance au projet imaginé pendant la campagne présidentielle américaine. Danseur et chorégraphe, Boyzie Cekwana imagine un conte cinglant et sauvage mêlant danse, vidéo et musique. Née au début du XXème siècle dans les bars clandestins des townships, la musique marabi, aujourd’hui disparue, imprègne le spectacle, de même que le mbaqanga, toujours vivace, qui fusionne diverses sonorités traditionnelles. Un tyran ubuesque trône au centre de la pièce, imbu de sa personne et ivre de son pouvoir.
Agnès Santi
à 18h, relâche le 19. Tél : 04 90 14 14 14. Durée : 1h.
Après Et vivre était sublime, le duo Les [...]
Avec la metteuse en scène Natascha Rudolf, la [...]
Lambert Wilson partage avec Yves Montand le [...]